Anne Galouzeau de V, neuroscientifique et psychiatre auprès des enfants, est arrivée à Montpellier en 1979, où elle a fait sa carrière comme Praticien hospitalier au CHU de Montpellier.

 

Venue habiter au Clap de Bouzigues en 2012 et sur les conseils de Montbazinois qu’elle pensaitbien connaître, elle a acheté, le 10 octobre 2017, la petite moitié de la maison Charles (du nom de Paulin CHARLES, ancien maire de Montbazin), au 130 avenue de Villeveyrac (AD53). L’autre moitié avait déjà été achetée par un jeune couple. L’aîné des vendeurs lui avait affirmé que le toit avait été intégralement refait il y a un peu plus de 10 ans, et les diagnostics semblaient complets.

 

Le jour de la signature, devant une notaire qui s’avèrera d’origine montbazinoise, elle découvre mais trop tard une modification de la convention passée avec les copropriétaires : chacun devra garder à sa charge sa pente de toit.


C’est un projet de climatisation qui va lui sauver la vie : en voulant passer les gaines entre 2 épaisseurs de plafonds, elle découvre que les anciens plafonds s’écroulent partout sur les faux plafonds ; en abattant tout, elle découvre une charpente prête à s’effondrer … sur sa tête, présentant des dégâts multiples en état pré-fracturaire et une instabilité de la structure de l’immeuble avec poussée du mur de façade vers la rue. Et, surtout, elle découvre aussi que l’aîné des vendeurs, copropriétaire ayant vendu l’autre partie au jeune couple, avait construit de son côté une mezzanine avec une porte de communication lui permettant d’accéder aux combles défectueux : les vendeurs ont donc vendu en toute connaissance de cause un bien « prêt à tuer »
… Et le jeune couple reconnaîtra avoir visité les combles en question avant d’avoir condamné la porte de communication, et avoir vu mais caché une importante fissure murale du mur Est … Ils se défausseront de tout, dégâts de partie commune, copropriété, procédures … Ceci n’explique-t-il pas les modifications de dernière minute de la convention notariée ? Rôle de la notaire ??… merci pour les conseils ! A ce jour, Anne G est relogée depuis bientôt 5 ans, avec ses affaires bloquées en containers…

 

Février 2019 : l’expert judiciaire nommé dans le référé vices cachés occulte les dégâts de charpente et conclut à l’absence de vices cachés, sur la présence de micro-fissures de façade, qu’un architecte du patrimoine considèrera en réalité comme tout à fait banales … Pourquoi ?

 

23 octobre 2019 : https://www.youtube.com/watch?v=TEtKPop42Dk Une première inondation inexpliquée s’était déjà produite le 1 er mars 2018. Le 23 octobre, lors d’un épisode méditerranéen, c’est un torrent d’eaux boueuses qui traverse le garage viticole de l’arrière vers la rue : la maison Charles est un bien inondable, le voisin reconnaît : « Personne dans le village n’aurait jamais acheté cette maison ». Les vendeurs « en ont mis beaucoup sous le tapis ». A toute chose malheur est bon, dit-on : deuxième vice caché et, surtout, le « poteau rose » se révèle :

 

Les « gens du nord » se font souvent prendre au piège du marché noir de « l’immobilier inondable », le midi est paradoxalement un territoire à haut risque d’inondations.

Mais là, le village est champion toute catégorie : les eaux venaient d’un chemin longeant, invisible, le mur nord du terrain. De fil en aiguille, l’enquête permettra de découvrir, malgré de nombreuses résistances, que :

 

          1 – ce chemin cache en réalité un détournement hydraulique de toutes les terres d’amont nord et ouest de la section F des Costes dite la Garelle, entre autres des terres agricoles irriguées par BRL dont le réseau enterré vient jusqu’au chemin en question

          2 – ce chemin est, actes notariés à l’appui, le chemin pluvial et d’exploitation agricole dit « des Piochs » et il appartient formellement aux « amis » qui lui ont conseillé l’achat de ce bien, l’un étant cadre BRL Ingénierie et un autre Commissaire aux Comptes BRLI

          3 – ce chemin a subi de nombreuses aliénations des limites de propriété pour être vendu et partagé entre riverains au moyen de bornages irréguliers successifs mais invalides ou d’appropriations illégales au détriment de tiers, irrégularités démontrées par l’enquête

          4 – le principal détournement de bien concerne son intégration pure et simple dans l’AD11 au mépris des règles légales de non-contiguïté, et surtout au détriment des riverains sud venant aux droits des Valesque pour la F205 à qui appartient probablement cette
prolongation du chemin des Piochs au sein même de l’ancienne propriété Valesque, alliée
Chambert*, à savoir les consorts Trouche, dont les portes d’accès ont été murées à leur
insu**.

          5 – les eaux de ce chemin ont été détournées au moyen d’un canal empierré coudé orienté vers les maisons d’aval, et de terres rapportées empêchant les eaux d’aller comme autrefois vers l’est (cachant à cette occasion des canalisations souterraines)

          6 – dans un chenal creusé à cet effet pour amener les eaux à un réseau public d’aval illicite et non conforme (dalle bloquante et buse sous la chaussée)

          7 – lequel chenal a bénéficié lui aussi d’aliénations cadastrales pour être intégré à l’AD53 qu’il inonde ! alors qu’il est démontré qu’il tient son origine de la parcelle mère de l’AD55…

 

Ce détournement du chemin des Piochs vers les biens d’autrui étant illégal, il fallait en déposséder les propriétaires pour les exonérer de toute responsabilité juridique, c’était le rôle des aliénations cadastrales multiples.

 

L’ensemble de ces aliénations cadastrales et du remaniement 607 E daté du 12 décembre 2011 qui les a validées à tort a été dénoncé auprès du CDIF dès mai 2020 avec relance au 24 octobre 2020.

 

Leur validation par les services du Cadastre sous couvert de la DGFIP engage la responsabilité de l’Etat, tout comme la non prise en compte de ces inondations -connues depuis bien avant 2016- dans le SAGE Thau Ingril engage la DDTM34 / SERN et son opérateur le Syndicat mixte du Bassin de Thau. Ce SAGE vient donc d’être dénoncé.

 

*Au début du XXème siècle, ce quartier Est de la Garelle a fait l’objet d’un véritable charcutage foncier semant la confusion entre les sections F des Costes La Garelle et H Village, qui pourrait avoir un lien avec la mort violente, en 1932, du notaire Georges Etienne PELLET, époux BRUN ?

** Et le tabassage  d’André Trouche, secrétaire de Mairie, qui avait tenté de s’y opposer dans les années 1983 ?

 

Le mobile de tout ceci

 

Ce système hydraulique, résultat d’une savante coopération public / privé (que permettaient et permettent encore les fonctions municipales des intéressés), est motivé par des enjeux cachés de taille :

▪  la viabilisation juteuse des terres d’amont en vue d’une urbanisation extensive de part et d’autre du contournement ouest de Montbazin, en projet dès avant 1991

▪  Et tous les partenaires de l’aménagement du territoire (promoteurs, opérateurs de l’eau dont la Région, sociétés d’économie mixte…) Ceci n’explique-t-il pas les freins à tous les étages !

 


Tout ceci au moyen d’expertises « arrangées » et de jeux malsains de colin maillard
avec instrumentation de la justice par acolytes*** ???

 

Visuel récapitulatif : dont acte !

Sur fond de cadastre Napoléon en vigueur en 1920, les aliénations public/privé du chemin des Piochs -certifié par les 2 principaux actes notariés- peuvent se résumer ainsi :

 

*** ou comment créer en meute des sources de conflits et procédures baillons contre leurs victimes.