Enfin, avec le temps et l’exaspération des honnêtes gens, la vérité éclate au grand jour ! LE CHEMIN D’EXPLOITATION DES PIOCHS DEVAIT DISPARAÎTRE ! Il n’y avait pas plus de troubles de mémoire du grand âge à l’Ouest que de prétendu droit de propriété sur le chemin à l’Est … rien que des mensonges ayant commis l’irréparable pénal d’avoir sciemment trompé la religion des juges en se renvoyant la balle entre complices. On peut bien sûr tenter de prendre ses désirs pour la réalité, effacer le chemin des Piochs sur le cadastre, murer les portes d’accès, mettre un garage par-dessus d’un côté et, de l’autre côté, construire sans autorisation un mur qui priverait les riverains de leur droit d’usage coutumier imprescriptible … L’eau dicte sa Loi, elle dessine le trajet du chemin pluvial des Piochs de l’amont Ouest (des contreforts des collines de la Moure d’Antonègre) vers le cami d’Antonègre et la Vène en contrebas à l’Est … Né de la configuration des lieux, la réalité géophysique du chemin des Piochs est une réalité factuelle, qu’aucune folle dénégation ne peut prétendre anéantir. André TROUCHE ne sera pas mort pour rien, l’heure approche des comptes pour ceux de ses agresseurs qui sont encore en vie. Il appartient maintenant au glaive de la JUSTICE de faire son oeuvre, et nous lui faisons confiance.

La justice récompensera-t-elle les agresseurs d’André Trouche ???
Rendra-t-on justice aux héritiers d’André Trouche, mort « à petit feu » de son agression violente dans les années 1981 pour s’être opposé à l’aliénation du chemin d’exploitation des Piochs ?
Secrétaire de mairie pendant 35 ans et en charge des dossiers d’adduction d’eau, il était aussi riverain sud de ce chemin qui protégeait les maisons du village des ruissellements venant des contreforts de la Moure à l’Ouest.
Il savait aussi que la SAFER avait raison de s’opposer à l’urbanisation des terres agricoles de l’ouest.
L’hypothèse médicale d’une dissection traumatique de la carotide interne gauche provoquée par les coups rend aux agresseurs toute leur responsabilité à l’égard des souffrances physiques et morales d’André aboutissant à son décès en 1992.
Non seulement cette affaire n’aura aucune suite judiciaire, mais surtout la voie sera libre pour le projet d’urbanisation illicite : occultation du chemin des Piochs dans nombre d’actes notariés de part et d’autre du chemin, injonctions de servitudes violant les articles L162-1 et suivants du Code rural et de la pêche maritime, instrumentation de la justice pour se faire attribuer le chemin au moyen d’erreurs expertales ….
Alors, la Justice récompensera-t-elle l’agression mortelle d’André Trouche en entérinant la disparition du chemin d’exploitation des Piochs transformé en drainage hydraulique des terres d’amont ouest ?
Tuera-t-elle une fois de plus André au travers de ses héritiers, en laissant le champ libre à un projet dont les conséquences immobilières sont déjà désastreuses par le biais des inondations.
Meurtre symbolique certes, mais meurtre psychique des héritiers Trouche, sans oublier les autres victimes des inondations dont André Trouche a voulu préserver le village au sacrifice de sa vie.